L'objectif de PA est de pouvoir répondre à un maximum de demandes de parrainage qui lui sont faites!

Pour ce faire nous devons trouver des nouveaux parrains/marraines et avoir les ressources nécessaires tant humainement que financièrement.

Plan d'action à LT (2 ans)

- améliorer la visibilité du parrainage et de PA dans les régions de BXL et du BW (doubler le nbre de followers sur la page FB, faire une capsule/vidéo de présentation du parrainage, faire parler du parr et de PA dans la presse,

- augmenter le nbre de futurs parrains/marraines qui continuent la procédure de préparation/sélection: action de comm?

- être connu et reconnu dans le secteur de l'aide à la jeunesse et de la petite enfance afin que les demandes que l'on reçoit soient les plus adéquates possible: prendre contact avec les centre PMS et l'ONE de nos régions et les rencontrer

Plan d'action à MT (1 an)

- améliorer la visibilité du parrainage et de PA dans les régions de BXL et du BW: Presse (contacter les médias listés), travail sur la NL (base de données et stat à analyser)

Plan d'action à ct (6 mois)

- améliorer la visibilité du parrainage et de PA dans les régions de BXL et du BW:  améliorer notre site (FAQ, ...), Presse (rechercher les medias adéquats pour PA)

- être connu et reconnu dans le secteur de l'aide à la jeunesse et de la petite enfance: prendre contact avec les SAJ et SPJ et les rencontrer

Cette année, le Centre d’Appui a pour vocation de diversifier à la fois ses partenaires de travail. L’objectif ? D’une part, permettre à plus de travailleurs sociaux d’être formés et outillés à la gestion du surendettement. Puisque les services de médiation de dettes sont de plus en plus professionnalisés et autonomes, c’est l’occasion de saisir l’opportunité de répondre à une demande très forte des professionnels d’autres secteurs. C’est l’occasion, en même temps, d’étendre nos partenariats à de nouveaux acteurs.

Les objectifs à court-termes sont de l’ordre de la prospection et de la logistique : participer à toutes les coordinations sociales de Bruxelles avant le mois de septembre pour faire connaitre les activités du Centre d’Appui, faire le baromètre de la demande et établir des contacts. Etayer notre carnet de contacts est très important. Le Centre d’Appui doit s’ancrer de manière plus durable dans le paysage associatif bruxellois et devenir un recours plus important. En même temps, et sur une période de plusieurs mois jusque septembre, il s’agit de faire l’inventaire des outils et formations déjà données à ce type de public et de déterminer un « menu » que nous pourrions dispenser à partir de septembre, dans une formule « à la carte ». Le groupe travaille se réunira une fois toutes les deux semaines pour suivre l’avancement du contenu. Il s’agira ensuite de créer, produire de la documentation, c’est-à-dire les brochures explicatives, syllabus et supports de court électroniques.

A moyen terme, nous devrons établir des statistiques et un tableau d’analyse précis de reporting des formations et animations nouvelles données. Ces évènements « laboratoires » devront avoir un impact positif à la fois sur la collaboration entre travailleurs sociaux et médiateurs de dettes, sur notre hotline d’aide juridique qui devrait être sollicité par davantage de travailleurs ayant suivi nos formations, ainsi que sur le bouche-à-oreille qui doit nous permettre de rencontrer plus de personnes intéressées.

A long terme, l’impact social positif serait une meilleure connaissance des processus de recouvrement de dettes et de leurs gestions, à la fois des travailleurs sociaux mais aussi des particuliers. Que les particuliers comprennent mieux comment gérer leurs problèmes de dettes et que les services de médiation de dettes se sentent « épaulés » par les travailleurs sociaux.

Pour y arriver, la collaboration entre les chargées de projet en prévention et les juristes devra être étroites. C’est-à-dire qu’il faudra être très attentif au reporting de nos premiers évènements pour ajuster les évènements à venir et collecter les types d’information qui intéressent le plus nos participants. Ce public, de terrain et expérimenté, est un public exigeant. A la recherche de ressources précises et témoins de situation spécifique, c’est un public qui connait parfois mieux la problématique que nous, puisqu’ils la vivent en direct sur le terrain. Etre au fait de leurs préoccupations nous permettra d’être plus pertinents.

Le but est d’être prêt à dispenser les formations en octobre. Et que notre méthode soit roadée pour janvier/Février. 

Sur le court terme (1 an), la stratégie est d’établir le profil type du parent qui inscrit son enfant, de comprendre les motivations qui les poussent à inscrire son ou ses enfants chez nous grâce à des sondages et des enquêtes courtes envoyées de manière ciblées par mail. C’est aussi comprendre et mieux cibler les attentes de l’animer afin de renforcer l’envie de participer aux activités extra scolaires. C’est réfléchir à l’impact de notre communication, mesurer l’audience et d’adapter celles-ci en fonction des rapports mis à notre disposition. Renforcer et proposer des partenariats a d’autres organismes aux valeurs similaires aux nôtres.


Le moyen terme (2 ans) doit se recentrer sur les publications et l’accès aux informations relatives à notre Mouvement de jeunesse. Renforcer notre présence sur les nouveaux réseaux sociaux comme par exemple Tiktok. La mise à jour du site internet, avec des actualités pertinentes et des outils pour chaque animateur et parent. L’information doit être facile et rapide d’accès. Le site internet doit être maintenu à jour régulièrement, ce qui n’est pas le cas. La newsletter mensuelle sera mieux ciblée en choisissant des listes de correspondants adaptés. L’administration et les membres du bureau sont invités à participer à des meetings qui parleront de l’aspect publicitaire, des budgets alloués et du plan de communication de l’ASBL.


Enfin, sur le long terme (4 ans), il est primordial d’augmenter notre notoriété en poursuivant la participation à diverses actions impactâtes comme «BeWapp – Wallonie plus propre », le Kids village tour de Nostalgie, la vente de post-it CAP48 de la RTBF, ou encore l’opération Arc-en-ciel (d’Arc-en-ciel ASBL) qui récolte des vivres non périssables pour les enfants défavorisés. Chaque activité doit se retrouver dans un listing d’activités réalisées durant l’année.

Moyen terme (pour la fin de l'année 2024) :

Objectif est de visibiliser nos actions dont nos centres de volontariat auprès des citoyens et citoyennes lambdas. Comment ? En essayant d'augmenter notre communication en personne. Nous continuerons la communication sur les réseaux sociaux mais en utilisant différents types de publications (vidéos par exemple). 

Long terme (18 mois ):

Le mois prochain, les citoyens et citoyennes iront voter. Nous avons déjà rencontré les partis francophones et fait entendre nos revendications. Nous devons absolument continuer d'interpeller les politiques pour qu'ils mettent nos revendications à l'agenda politique. Pour cela, nous continuerons d'avoir une veille politique pour être à l'affût dès qu'on parle de volontariat. Pour les interpeller, on utilisera les réseaux sociaux (FB/LK), les courriers mails et papiers pour qu'on puisse de nouveau avoir des rencontres et susciter l'intérêt. L'objectif est d'obtenir enfin la suppression du C45B (que nous demandons depuis des années). Niveau temps, c'est un objectif à long terme, donnons-nous 18 mois pour atteindre cet objectif.