Bonjour Philippe,

Avez-vous envisager de faire des demandes de subventions pour votre projet ? Je suppose que le développement d'un outil de coopération sans vente de donnée est quelque chose que nos politiques publiques soutiendrait. Il doit exister, moyennant paperasse évidemment, des appels à projets qui correspondrait. Je dirais que l'on peut trouver de bon interlocuteurs pour se faire conseiller en pépinière d'entreprise, notamment celles qui travaillent sur les structures en ESS. Et évidemment, ça demande d'être organisé en association ou autre personne morale.

Sinon, le crowfunding ? Avec une logique de participation qui ouvre à des études d'application Agorakit sur différents besoins, ce qui permet aussi d'organiser le travail à partir des besoins qui se présentent (je participe à tel niveau, donc j'obtiens une expertise sur l'application que je fais d'Agorakit, et l'étude de fonctions adaptées).

Ces quelques pistes impliquent du travail hors développement malheureusement, mais elles ont l'avantage de donner du sens à l'outil en le confrontant plus encore à l'usage des personnes.

Merci pour les pistes. Et effectivement, confronter le plus possible l'outil à l'usage des personnes est vraiment important. Je vais me renseigner sur les possibilités de subventions, voire de crowdfunding pourquoi pas. Et ce qui est intéressant c'est que travailler de cette manière me permet de prioriser les fonctionnalités.

C’est vrai que vous pouvez trouver des arguments via le label « ville numérique» qui encourage les villes à passer au libre 

En tout cas à Marseille on a un élu issu du Parti Pirate qui est à fond! 

Pour les fonctionnalités c’est tout bête mais certains smiley ne passent pas et ça aide beaucoup à adoucir la communication pour éviter les frottements ou incompréhension. Quand je veux mettre le plus classique avec un sourire ça donne ça:  🙂 

@amelie-t regardez maintenant les smileys passent et aussi : on peut ajouter des "réactions" aux commentaires